Pour l’échec, tout le monde se souvient de 2006, où le Brésil fût sorti par
Exit les solistes, exit Ronaldinho et consorts…tout est muscle, l’équipe doit comporter un seul esprit…on a souvent dit qu’il ne fallait pas que le joueur pense...on comprend mieux le concept.
Le brésil de Dunga, ce serait le Barça qui se passerait de Messi et Xavi pour éviter qu’une individualité ressorte.
On en arrive presque à souhaiter un cinglant échec en coupe du monde, pour retrouver en 2014 un Brésil flamboyant et samba. Parce que le foot est parfois triste, et si le Brésil abdique vraiment et se renie, il ne nous restera plus que nos yeux pour pleurer.
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